Côté cours :
Est-ce que les cours sont difficiles ?
Cela dépendra de vos capacités à comprendre, à apprendre ainsi que de la manière dont vous aborderez les cours (et dont comment les intervenants les aborderons). Les cours en eux-mêmes ne sont pas « difficiles » mais ils sont intenses. 10 mois c'est court pour apprendre tout ce qu'il y a à apprendre. Court mais possible. Surtout que grâce aux stages vous mettrez très rapidement en pratique ce que vous aurez appris.
Le volume horaires des cours est-il important ?
En cours, d'une manière générale vous faites 9h / 18h avec une pause d'1h à 1h30 le midi. Vous avez bien sûr des pauses tout au long de la journée.
Côté stages :
Comment se passent les cours ?
Les
cours sont très riches. Ils sont donnés par des intervenants extérieurs
ou non à l'IFAP. Les personnes qui nous ont donnés les cours étaient
tous très intéressants, patients et ouverts à nous aider. Bien sûr, on
n'a pas d'affinités avec toutes les matières, encore moins avec toutes
les manières dont les intervenants présenterons leurs cours. Il vous
faudra donc vous adapter.
Qu'est-ce que c'est des modules ?
C'est
la manière d'organiser les cours. Pour s'y retrouver plus facilement
ils sont classés par thématiques. Il vous faut la moyenne à chacun de
ces 8 modules pour obtenir votre diplôme (si
vous passez seulement quelques modules car vous êtes en cursus partiel,
il vous faudra aussi avoir obligatoirement la moyenne aux modules que
vous passerez).
M1 : Accompagnement de l'enfant
dans les activités de la vie quotidienne
M2 : État clinique d'une personne
a tout âge de la vie
M3 : Soins a l'enfant
M4 : Ergonomie
M5 : Relation
communication
M6 : Hygiène
M7 : Transmissions des informations
M8
: Organisation du travail
Comment prendre les cours ?
Faites comme bon vous semble.
Prenez des notes sur papier, sur ordi, ne prenez pas de notes du tout
si vous avez les cours sur le net (nous on avait tout sur intranet mais
je prenais quand même tout en note car je déteste apprendre sur
ordinateur et j'intégrais bien mieux en écrivant). Ça a souvent posé
soucis car je suis très lente (et dispersée) en cours, j'avais donc
parfois de grands espaces blancs sur mes copies mais ce n'était pas grave puisque
les cours étaient sur intranet et si ce n'était pas le cas, je prenais
les notes des copines !
Côté stages :
Le volume horaire des stages est-il important ?
En
stage, vous êtes obligés de suivre les horaires des structures. Vous
pouvez donc commencer à 5h en milieu hospitalier comme à 13h. Vous
pouvez terminer à 14h comme vous pouvez terminer à 22h (voire travailler
de nuit !). Vous pouvez travailler 6h/jour comme vous pouvez travailler
en 12h (sur dérogation en milieu hospitalier).
Si on est absent en cours et en stage ?
Vos
heures de présence en cours et en stages sont notées et comptées pour le diplôme final. Si vous êtes beaucoup absent ou que vous n'avez pas effectué
assez d'heures de stage vous n'êtes pas éligible à l'obtention du
diplôme. Certains IFAP mettent en place des stages de rattrapage, vous
faites un stage supplémentaire en juillet et/ou août et obtenez votre diplôme en septembre. Officiellement,
vous avez droit à 35h d'absence (mais les IFAP ne le disent pas trop). Ceci dit, moins vous en avez, mieux c'est. Vous
pouvez très bien avoir un problème de santé la dernière semaine de
formation et que ce serait dommage d'avoir déjà épuisé vos 35h
d'absence autorisées.
Est-ce qu'il y a un rapport de stage à rendre après chaque stage ?
Non.
Est-ce que les stagiaires sont bien vus par les équipes ?
Globalement oui. Vous n'aurez pas d'affinité
avec toutes les personnes qui vous encadrerons, avec qui vous
travaillerez, vous n'aurez pas d'affinité avec tous les lieux de stages
et vous pourrez vivre des expériences difficiles. Cependant, tout ce que
vous vivrez de bon ou mauvais vous sera utile pendant et après votre
formation.
De manière personnelle : Je suis tombée sur des personnes étant des perles, des
personnes respectueuses, accompagnantes, bienveillantes tout comme je
suis tombée sur des personnes qui n'en avaient rien à faire des stagiaires, qui ne nous accompagnaient pas, qui ne nous expliquaient
rien. Je suis reconnaissante envers toutes ces personnes, pour les mêmes
raisons que plus haut, elles m'ont toutes appris quelque chose (mais je
ne m'en suis rendu compte qu'avec le recul professionnel!)
Sachez
demander de l'aide quand c'est nécessaire, que ce soit à votre
formatrice, à une amie. Pour ma part, j'ai vécu pas mal de stages pas
faciles (je vous invite à lire cet article). Le plus difficile psychologiquement à été
celui en néonatalogie. Je voyais un psychologue à l'époque pour des
raisons personnelles, finalement on a pas mal parlé de mon stage (qui se
déroulait exactement à la même époque) et il m'a aidée à avoir pas mal
de recul sur ce stage. Le pire de mes stages à été mon dernier en
multi-accueil, j'ai passé deux semaines à voir des choses intolérables à
mes yeux envers les enfants, dont on se rend encore plus compte en fin
d'année ! Au bout de deux semaines j'en ai parlé avec la directrice et
ma référente, qui étaient au courant de tout ce qu'il se passait et qui
finalement étaient en train de collaborer et réfléchir pour instaurer
des choses pour l'équipe. Pourquoi avoir attendu 2 semaines ? La
première raison était que je ne savais pas si c'était mes propres
perceptions ou non; la seconde était clairement l'appréciation et les
notes que j'aurai à la fin du stage, j'avais peur que ça influence
là-dessus. Finalement, j'avais tord, mais ce n'est pas toujours le cas !
Vous aurez aussi de bonnes surprises, pour ma part, j'étais persuadée de
ne pas vouloir travailler en milieu hospitalier. Un stage en maternité
est obligatoire et mon second (pédiatrique) a été en néonatalogie -
finalement, je me suis rendue compte que je serai totalement prête à
bosser dans ce milieu ! J'ai également été en stage dans une structure où tout le monde était très respectueux et bienveillant envers tout le monde (adultes et enfants). La directrice était très présente pour son équipe et travaillait réellement en collaboration avec eux. J'en garde une image lumineuse, bienveillante et chaleureuse. J'ai aussi eu l'immense chance de faire un stage
en PMI et j'ai vraiment adoré ce stage, ce fut une bénédiction pour moi
de savoir tout ce qu'il se faisait là-bas et en plus, j'ai eu la chance
incroyable d'avoir une tutrice consultante en allaitement et monitrice de portage
alors croyez-moi que j'ai adoré faire ça avec elle !!
Côté charge de travail :
Qui choisi les lieux de stages ?
Les
formateurs. Souvent il y a très peu de places dans les structures
alentours. Les formateurs ferons au mieux pour vous répartir. Le dernier
stage dit « stage optionnel » (qui est en fait obligatoire en formation initiale)
est censé être choisi en fonction de votre orientation professionnelle.
En réalité, il s'avère souvent que beaucoup veulent faire leur dernier
stage en maternité et qu'il n'y a pas assez de places. Il y en a qui
aurons de la chance, d'autres qui retournerons en structure d'accueil du
jeune enfant.
Côté charge de travail :
Est-ce qu'il y a un mémoire à faire ?
Non, pas de mémoire, la seule chose qui s'en rapproche est le dossier de communication du module 5 je dirai.
Est-ce qu'il y a beaucoup de travail personnel à fournir ?
Oui.
Il vous faudra travailler à la maison pour vos démarches de soins, pour
réviser les examens, pour le dossier de communication. La charge de
travail dépendra aussi beaucoup de la manière dont vous serez attentifs
en cours.
Doit-on beaucoup lire ?
Ça
ça dépend de vous ! Personnellement j'ai beaucoup lu durant ma
formation et je lis encore beaucoup aujourd'hui. Vous pouvez déjà
retrouver certains ouvrages dans ma catégories « Livres ressources » du blog. N'hésitez pas à demander à vos formateurs et vos intervenants si ils ont des choses à vous conseiller.
Niveau organisation :
Est-ce que la formation est stressante ?
Savoir que ce métier était celui que je veux faire depuis plusieurs
années m'a beaucoup aidée. En
décembre, je me suis demandée ce que je
faisais là. Est-ce que je voulais vraiment rester dans cette classe ?
Est-ce que finalement être CAP Petite Enfance ne suffisait pas ? J'avais
un peu du
mal à gérer la fatigue, etc. Le soutien de mon chéri et de mes amies a
été un vrai réconfort. Malgré mes doutes, eux savaient que j'étais là
parce que c'était ce que je voulais depuis très longtemps (toujours en
fait). Les examens, le fait de devoir aller en classe, c'était qu'un
mauvais moment à passer finalement, puis j'avais presque fini, les mois
suivants allaient surtout être des stages. C'est normal d'avoir des
coups de mous, alors coupez un peu de tout ça. Prenez de vraies
vacances, respirez, notez vos motivations si nécessaires, voyez d'où ça
peut venir et si c'est surmontable.
Est-ce que l'on a des vacances, est-ce que l'on travaille le weekend et les jours fériés ?
Pour une formation de septembre à juillet, vous avec 2 semaines de vacances à Noël et une semaine en avril. Le reste du temps vous êtes en cours ou en stage. Les jours fériés doivent être respectés que vous soyez en cours ou en stage. Vous ne pouvez pas travailler le weekend (samedi et dimanche) car vous avez le statut d'élève. Pour une formation de janvier à décembre, les conditions des jours fériés et des weekends sont les mêmes, seules les vacances varient. Je n'en connais pas les semaines exactes mais je sais par exemple que vous avez 4 semaines en été.
Est-ce qu'on a besoin de la voiture ?
A
moins que vous ayez des parents ou un chéri/mari à disposition : OUI.
Pour vous rendre en stage surtout car vous aurez parfois des horaires
décalés et les bus ne desservent pas toujours à ces heures-là !
Est-ce que l'on peut s'en sortir avec des enfants ?
Bien sûr que oui. Il vous faudra bien vous organiser, et ne pas hésiter à demander de l'aide mais c'est totalement possible !
Est-ce que l'on peut s'en sortir avec des enfants ?
Bien sûr que oui. Il vous faudra bien vous organiser, et ne pas hésiter à demander de l'aide mais c'est totalement possible !
Est-ce que l'on doit faire beaucoup de trajets ?
Alors,
pour ma part, j'ai eu la chance de choisir le lieu où j'allais habiter
en fonction de mes lieux de stages. Je m'explique. Avant la formation,
ma formatrice m'avait appelée pour me demander où j'allais habiter. Je
n'avais à l'époque pas encore trouvé d'appartement je lui ai donc donné
un secteur. Elle m'a placée en stage à proximité de cet endroit et j'ai
donc cherché un appartement dans ce secteur. J'ai donc préféré faire
beaucoup de route pour me rendre en cours (j'avais 1h à 1h30 de route matin et soir) et très peu de route pour me rendre en stage (j'avais maximum 45 minutes de route pour mes stages !) Si
vous habitez déjà quelque part, les formateurs ferons au mieux mais il
sera tout à fait possible que vous ayez besoin de faire 1h voire parfois
2h pour le milieu hospitalier (les places sont plus rares donc il faut souvent aller chercher plus loin !). Tout comme il sera possible que vous n'ayez presque pas de trajets à faire.
Comment se déroule l'année ?
Durant
toute l'année vous alternerez entre les stages et les cours. Vous aurez
6 stages de 4 semaines et le reste du temps, vous serez à l'école.
Côté relation avec les autres :
Côté relation avec les autres :
La relation avec les formateurs :
Si vous avez des lacunes, parlez-en à votre formatrice. Au collège et
au lycée, on m'a souvent fait le reproche, sans jamais m'aider à trouver des solutions pour changer ça, que je passais pas mal de temps à regarder par la fenêtre. Bah
oui, moi rester concentrée 2h d'affilées ou plus sur la même matière, c'est pas possible. On avait eu
un entretien en début d'année avec notre (SUPER !!) formatrice. Je
l'avais prévenue qu'elle risquait de me voir regarder par la fenêtre ou complètement décrocher des cours par moments. Elle s'était renseignée
pour savoir ce qu'elle devait faire, me laisser rêver, me rappeler à
l'ordre ou autre. Je lui avais donc expliqué que non, je me remettrais
toute seule dans les cours quand j'en aurai besoin et je rattraperai les
cours le soir ou autre sur d'autres copies. Parfois j'étais même sur
mon téléphone (hé ouiii !) mais elle savait que j'en avais besoin. Si
j'avais eu des notes pourries j'aurai compris qu'elle me rappelle à
l'ordre mais ce n'était pas le cas, donc j'ai passé l'année comme ça !
Ah, j'avais aussi prévenu que j'étais hyper sensible et que je pleurais
très facilement (de joie, de colère, de tristesse, de déception, de
tout !)
Pour ma part, si il y a une personne envers qui je suis extrêmement
reconnaissante, c'est ma formatrice. Vraiment. Elle a été tout au long
de l'année une personne très juste, elle nous a accompagnés tous un par
un en prenant nos forces et nos faiblesses. Elle nous a accompagnés de
manière personnalisée, quitte à prendre du temps sur son temps
personnel. En début d'année, elle nous a tous pris en entretien un par
un pour en savoir plus sur nous, sur notre manière de travailler, sur
comment on s'organise à l'école ou à la maison, sur la manière dont on
comptait prendre les cours, sur notre nous. Elle ne faisait pas ça
que pour la forme, elle était vraiment intéressée par ce qu'on lui
disait. Elle a recommencé à mi-parcours de la formation (en décembre). Puis de nouveau vers la fin d'année (vers le mois de juin). J'ai pu compter sur elle à chaque coup de blues qu'il soit
personnel ou professionnel parce que l'un influe toujours sur l'autre.
Cette formation fait ressortir des douleurs personnelles, elle aborde
des sujets douloureux, sensibles qui feront forcément écho a un moment ou
un autre à votre propre vie. Notre formatrice était là pour nous
accompagner, pas à pas, pour nous aider à avancer là-dessus, à en
parler, etc. Elle savait se montrer dure et juste quand il le fallait -
nous dire les choses simplement sans détour et que ça nous plaise ou
non. Mais tout ça, ça nous aide à avancer même si sur le coup on se sent
juste blessé ou incompris.
Trouver des personnes ressources :
J'ai aussi trouvé une personne ressource dans cette formation, Camille. Elle m'a été d'un plus grand soutien qu'elle ne peut l'imaginer dès le
moment où on a commencé a vraiment se parler. Et ce jour-là, je m'en
souviens très bien. J'étais en colère parce qu'on avait la possibilité
de rentrer chez nous à 12h, que j'avais un heure de route, et que je
bossais le soir. Je pestais parce que la personne avec qui je
covoiturais était partie manger et que je ne savais pas si je devais
l'attendre ou non. J'en ai parlé à ma formatrice qui m'a dit « Mais je
vous avait dit qu'il ne fallait pas travailler pendant la formation ! » Je lui avais répondu que j'avais des factures à payer et que je n'avais
pas le choix. Camille était là, elle a attendu que ma formatrice parte
et elle m'a soufflé « Heureusement qu'elle ne sait pas que je me lève à
5h du matin pour faire du babysitting avant de venir en cours et que je
garde aussi des enfants après les cours ». Camille comprenait, parce
qu'elle n'avait pas la chance d'avoir sa formation financée (contrairement à moi),
donc elle bossait dès qu'elle le pouvait ! A partir de ce jour-là, on s'est soutenues tout le reste de la formation (je suis partie en Californie avec elle
cet été, vous pouvez retrouver mes articles ici pour vous faire voyager
un peu!). Vous pouvez trouver aussi des personnes ressources durant vos stages, dans les personnes qui vous accompagnerons, à l'école ou même en stage.
Comment est l'ambiance dans une classe où il y a majoritairement des filles ?
J'étais venue dans un état d'esprit un peu détaché par
rapport aux personnes qui m'accompagnerai durant la formation (mes
camarades de classe quoi), je savais que l'on se retrouverai dans une
classe majoritaire de filles. Pour en avoir fait l'expérience durant mon
bac, à l'internat et pendant mon CAP Petite Enfance, je savais très bien à quoi
m'attendre en terme d'entente, etc. On ne va pas se mentir, les pires
conditions pour bosser c'est bien avec des filles. Ça n'a pas loupé, des
groupes se sont très vites formés, il n'y avait pas tellement d'entente
entre tout le monde, ça se sentait et se voyait très bien (s'entendait
aussi). Nous, on avait un garçon au milieu, sauf qu'en fait, dans les
classes de filles, un seul garçon ne change pas la donne. Je ne vous dis pas que j'avais
une classe pourrie, bien au contraire ! Les parcours de tout le monde,
tous différents, nous ont rendu plus riches de tout. On a appris à se
respecter professionnellement même si sur le plan personnel ça ne
matchait pas. Comme il n'y avait pas d'enjeu personnel et qu'on en avait que
pour un an, les choses se disaient, presque personne n’hésitait à
montrer son désaccord et à partager ses connaissances et ses
expériences. Je pense que tout le monde a appris au moins une chose de
chaque autre personne. Et malgré tout, c'est aussi une force tout ça.
Côté examens et révisions :
Est-ce qu'il y a beaucoup d'examens ?
Vous avez un examen théorique pour chaque module (donc 8 examens théoriques). Vous avez également une démarche de soins à réaliser lors de vos mises en situations professionnelles (donc en stages) pour les modules 1 et 3. Pour le module 5, sur la communication, vous avez un dossier de communication à rendre (basé sur une situation vécue en stage). Selon les IFAP, ce dossier se réalise seul ou en groupes. Pour le module 4, l'ergonomie est évalué lors des MSP (= mises en situations professionnelles) et en examen pratique à l'école (certains IFAP ne font pas l'examen pratique à l'école).
Est-ce qu'ils sont compliqués ?
Tout comme les cours, cela dépendra de vos capacités à les comprendre et de comment vous aurez révisé/appris les informations. Personnellement je n'ai trouvé aucun examen compliqué. J'entends par là qu'il n'y a jamais de « pièges » dans les questions (les formateurs n'ont clairement pas que ça à faire de nous pourrir l'existence), que les questions sont claires, précises.
Comment ça se passe pour les révisions ?
Honnêtement, il vous faut trouver un équilibre pour vous.
Pour ma part : j'avais énormément de trajets à côté (1h à 1h30 matin et soir) et bien
que financée par la région et ayant les allocations chômage, il me
fallait faire du babysitting à côté. Je ne révisais donc pas la semaine,
le weekend je remettais principalement de l'ordre dans mes cours de la
semaine, je classais, réécrivais si besoin, et profitais de mon
amoureux, de balader, ranger l'appartement, etc. Le fait est que
j'écrivais mes cours manuellement, j'intégrais donc déjà beaucoup de choses.
J'ai souvent essuyé des remarques comme quoi « je n'avais pas révisé hier
soir, comme demandé, pour le cours de demain » ou « Mais tu n'as toujours pas commencé à
révisé ?! L'examen est dans 1 mois !! ».
Alors quand arrivaient les 15 jours
avant l'examen et que je n'avais TOUJOURS PAS commencé à réviser, je
vous
laisse imaginer les regards lourds de sous-entendus et les remarques.
Le fait est que j'avais trouvé mon équilibre, je révisais les deux
weekends précédent l'examen et ça m'allait très bien. J'y passais
énormément de temps, j'intégrais énormément d'informations et mon chéri
passait énormément de temps à m'interroger, m'aider à réfléchir pour que
les informations soient apprises de manière logique et non par cœur.
Pour mes examens théoriques, mes notes tournaient
autour de 15, alors autant vous dire que j'étais donc loin de ne pas
assurer !
Et vous ? Comment avez-vous vécu votre formation ?
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